Saint Martin
Ce n’est pas un Dieux mais ce saint mérite quand même quelques pensées. Son nom lui va bien, ancien soldat et
probablement de père en fils, vient du Dieu Mars Dieu de la guerre. There is a story about him: On a stormy night, he was travelling on his horse,
when he saw a poor beggar with almost no clothes on. The man was shaking for
cold and very hungry. Bishop Martinus took his sword and cut his cape in two
halves. And the same he did with his bread. He gave that to the beggar,
saing: "this is all I have so I share it with you."
Now, in the
northern part of the Netherlands we celebrate every year on November 11 the
festival of Sint Maarten. Sa fête est le 11 novembre et dans ma jeunesse
dans les années 50 nous fêtions cette évêque comme on fête aujourd’hui cette
dégénérescence appelé Halloween que même mon ordinateur connaît parce qu’il me
corrige en l’écrivant avec deux L . En somme l’église catholique n’a que
phagocyté une culte des morts des peuples Celtes voir chapitre St Nicolas. La veille du 11-11 nous nous procurions un
betterave à sucre qu’il valait évider et sculpter pour en faire un tête pas
très sympathique et lugubre comme on fait actuellement pour Halloween avec des
citrouilles ou potirons (à ne pas confondre parce que ce sont de
curcubitacées de deux continents
différent). A l‘intérieur fut mise un bougie mais la fée
électrique m’avait déjà visité et ma betterave-lampion fantastique marchait
avec des piles de récupérations d’un pile d’un batterie de piles de 135 volt
qui faisait marcher la radio du bateau à voile de mon père et sur les 90 piles
que constituait ce batterie il y avait toujours des piles plus ou moins
déchargées en fin de vie. Le jour J nous partâmes le soir au tombé du
jour dans un procession d’un millier d’enfants dans un ville de 10000 habitants
appelé Enkhuizen au nord des Pays Bas. Première étape l’usine de gâteaux le seul usine dans tout la région donc une
étape indispensable vu son importance. En suite tout le monde se dispersait et
retournait dans ces quartiers catholique ou protestante ou surtout là où on
vivait pour faire la quête des gourmandises et très très rarement une pièce .Il
valait chanter des chansons comme (St Martinus bisschop roem van alle landen
etc etc). Sinte Sinte Maarten
De kalv'ren dragen staarten,
De koeien dragen horens
De kerken dragen torens
Hier woont een rijke man
Die veel geven kan
Veel geven hoeft jij niet,
Al is het maar een suikerbiet!
Nos aînées de 15 à 18 ans ne faisait bien évidant pas ce genre de
démarche mais s’amusait avec du Carbite. C’est une pierre blanche et si on
mette de l’eau dessus il dégage un gaz acétylène et ceci servait en temps normal
les postes à soudure et lampes sur les véhicules au début de 1900 mais nos
sauvageons de l’époque faisaient exploser les égouts et d’autres méchancetés. Dans la riche galerie des saint de l’église
catholique le saint Martin occupe un place prépondérant et que nous trouvons
partout dans le monde en rappelant simplement le fameuse orchestre St Marin in
the fields en Amérique ou le village à
coté de la mienne Viarmes «St Martin du tertre» Un peu d’historique : Ce saint fut à ces débuts officier de l’armée
romaine dans les année 336, il aurait vécu de 316 à 397 et se converti au
christianisme et devient disciple de saint Hilaire. Son origine est en Hongrie.
Il crée quelques abbayes avant de devenir évêque de Tours. La postériorité le connaît surtout par son
manteau qu’il aurait coupé en deux pour donner la moitié à un pauvre (SDF). Les
méchant langues dissent que de tout façon il donnait la moitié parce que dans
l’armée romaine l’équipement appartenait que à 50% au militaire. Autre anecdote c’est la cape ou moitié qui donne
le mot chapelle. Dr. Papke lui prête un historique plus
sulfureux et démontre que ce Saint n’est ni plus ni moins le cavalier-archer
Nemrod des babyloniens et devient sagittaire chez les grecs. Pour
ne pas réécrire le 7 pages je vous
conseille
The
sign of
the
Messias
Online Publications of Dr. Papke Un dernière point soulevé est quand même
intrigant : Ce cavalier qui trouve son origine dans la culture
Babylonienne serait ensuite utilisé dans l’apocalypse en tant que cavalier de
cette révélation. Le nombre 666 qui est le signe du prince des ténèbres
retrouve son équivalent dans la ville de Tours en écrivant les lettres de Tours
en lettres hébreux : Taw(T) = 400 Waw(OU)
= 6 Resh(R) =
200 Samech(S) = 60
Totale TOURS=666 Est ce un
quoincidence ? En tout cas dans quelques années après sa mort vient un
cavalier Mayar (lui aussi) des steppes et la Hongrie appelé Attila qui fut un
cavalier apocalyptique bien réel.  Carel Wijngaards Viarmes 10-12-02 |