Barabbas Le fils de dieu le père Ce personnage Biblique nous est connu par le
nouveau testament dans les
évangiles lors la passion de christ quand Pons Pilate
demande au peuple juif, en
donnant (l'amnistie)* lors de la fête de pâque, “qui voulez-vous que je libère
Jésus ou Barabbas ” ? Et après le choix du peuple, s'en lave les mains
publiquement. Les
textes sacrés rajoutent
(tardivement) en plus que
son sang tombe
sur nos têtes
et celle de nos enfants Mt . VII
(27,26) ces mots sont largement repris lors des
persécutions des juifs depuis les derniers 2000 ans avec le Shoah comme la plus
dramatique de cette lutte entre christianisme et judaïsme. Qu'en
disent les textes canoniques* de
ce dernier : “ un détenu fameux ” selon Matthieu “un séditieux qui avait tué
au cours d'une
émeute” selon Marc
et Luc, “un brigand ” selon Jean. Peut être un
sicaire au service des Zélotes le bras armé de l'armée de la
libération de la Palestine de l'époque. Vu la
justice expéditive des romains ou
Hébreux nous pouvons être
certains qu'il fut arrêté dans la semaine de pâque,
peut-être lors des bousculades avec les
fameux rameaux, dont
les nerfs de
ces feuilles servent de matraque ou inversé comme fouet
encore de nous jours. Jésus fut accueilli comme libérateur et se
trouvait dans une situation de séditieux La
bousculade des marchants du
temple n'est pas datée mais tout laisse penser que cette foire annuelle avait
lieu dans cette même semaine. Les tableaux maints fois reproduisent cette
volte-face de Jésus tout seul renversant les tables des
négociants, pittoresque mais
pas très réaliste.
Premièrement Jésus n'est
pas de stature imposant
parce
qu'il entre en ville sur le dos
d'ânon que personne
n'a encore monté Ma
IV(11,4) , deuxièmement cet attaque (à mains armées ?) n'a pas pu être fait par
un homme seul et armé de fouet il aurait été lynché par les dits marchands sans
oublier la police du temple(ce
type de police existe toujours dans certains pays arabe et un ami les ayant vu à
l’œuvre m'a conseillé de les
éviter à tout prix). Barabbas faisait-il parti de ce véritable hold-up; Pour
mémoire cette bousculade se produisait dans la partie bancaire du temple. D'après
les exégèses, le nom Barabbas vient
de l'assemblage des mots
bar = fils et abba = père en somme un nom courant en langue araméenne (la langue en Palestine
et ne pas confondre avec arménien). Notre civilisation hérite de ce nom avec
abbé. Tout juif religieux reçoit son nom lors du
bar-mitsva et s'appelle donc bar- et le nom du père. Chez les Arabes fils = bin ou ben selon la
vocalisation de B'N. Un croyant protestant donnait comme traduction
pour Barabbas = étranger. Pourquoi
pas, le nom d'une
personne dont on
ne connaissait pas
les ascendants était
forcement suspect ou ne faisait pas parti de la communauté. Suite
à cette réflexion
je donne donc la traduction
suivant : fils de père inconnu sinon il aurait rajouté un nom. Plaçons-nous dans l'époque chez les Hébreux.
Les enfants de père inconnu a dû être une exemption. Les femmes de mœurs
libres terminaient souvent
lapidés même le viol d'une femme en ville impliquait sa mort parce qu'en ville elle
aurait dû crier
pour se délivrer de
son agresseur en
somme c'était une façon bien commode de se débarrasser d'un
futur cas à
problèmes. Les allocations mères
célibataires n'existaient pas
encore et on avait conscience que l'éducation monoparentale n’était pas
très souhaitable. Il
est aussi possible
qu'il se soit
brouillé mais dans ce cas il ne passe pas sa bar-mitsva. Reste le cas,
le fils ne peut
pas révéler le
nom de son
père ; exemple être
fils d'un leader
d'une révolte mort
ou vivant. Un
autre personnage illustre, de père inconnu, est Jésus le
nazaréen. Ce nom qualificatif ne vient pas de la ville de Nazareth
parce que la ville n'existait
pas à l'époque des romains mais du mot Nazir qui veut dire
homme pieux
qui a fait
les veux du
nazirat ce mot fut
également donné par les juifs
comme sobriquet aux national socialistes allemand sous le forme nazi. Jésus
a, d'après les
textes, reçu une
éducation religieuse il
manque donc son
nom de son père
dont il se revendique souvent
“je suis le
fils du Père ”. Qui
est le père
de Jésus ? Dans
l'an 6 de notre
aire César Auguste décide après
la destitution de Archélaüs de faire un recensement de la population et
récolte de ce fait la révolte des juifs qui voient dans cette mesure de
faire payer davantage d'impôt au peuple.
Le leader de cette
révolte d'après Flavius
Joseph est Juda de
Gamela (héros de
Dieu traduit en hébreux Gabriel)**qui
meurt durent ces mouvements. Ce Juda est un candidat sérieux pour
endosser la paternité de Jésus et
je ne serais pas étonné que Jean Batiste soit son
demie frère. Certains textes apocryphes parlent du saint esprit
qui passait en travers l'oreille de la vierge Maria, il
suffit de lire la puce à l'oreille de Duneton pour comprendre ce
charabia. Tout enfant
est conçu de la
même façon y compris Jésus ! La naissance
de Jésus l'an 6 n'est pas très sérieuse.
Probablement s'agit-il d'une vie nouvelle un peu comme pour St. Paul qui se dit de Tars mais dont la nouvelle
vie commence dans une clayette ou panier quand il passe le mur de Damas
(le mot Tars en grec veut dire clayette) en tout cas la fuite en Egypte
date de ce moment parce que le massacre
de tous les
descendants était une
coutume courant et le jeune
Jésus n'aurait pas
été épargné
- Si l’amnistie existe depuis au moins Hammourabi - 1792 B.C. avec
le “ misharum ” ce coutume fut certainement pas utilisé par les Romains.
Jésus
aurait donc du s’appeler Jésus
Barjuda mais s appelait
pudiquement Jésus barabba en rajoutant un “s ” nous trouvons nos
coutumes indo germain pour dire fils,
abrégeant le mot “son ”, exemple mon propre nom
Wijngaard
veut dire vignoble ou vigne et en complétant avec “s ” fils de M. Vignoble. Dans le nom
Jésus de Nazareth seul la
particule est juste parce qu'il
est de lignée royale (davidien) sa
mère
Maria
s'appelle Miriam ce qui veut dire princesse en hébreux. Revenons
à notre séditieux Barabbas,
comme démontré ci-dessus
le nom “fils du père ” est une ineptie il manque
un prénom ! Lecture
prise dans les saintes
écritures nous
donne dans l'évangile de Matthieu son prénom
: Jésus,
qu'est qualifié de
rajout tardif selon les exégèses, mais nous donne une coïncidence
troublant. Avec
l'histoire de Barabbas le poisson était déjà suffisamment noyé pour qu'on
puisse rajouter le maximum de vérité sur
l'histoire sans pour autant dévoiler la
vraie identité de Jésus fils de son Père (inconnu) et engendré par le saint esprit annoncé au préalable par le
messager (angélous = messager le terme ange n'existe pas en langue et culture
grecque) Gabriel le 25-3- l'an dominus 1. L'an “O ” n'existe pas le Zéro
n'était pas encore inventé par les Indiens et transmis aux occidentaux par les
Arabes vers le moyen âge. A la lecture des évangiles concernant Pilatus
il ressort un certain malaise des rédacteurs qui laissent entendre que le
déicide fut la faute des juifs. Les historiens laissent entendre que notre
poltron fut compromis avec Jésus en voyant bien ce leader charismatique et
légitime prendre la place des tétrarques hérodiens (on veut me couronner roi
d'après les évangiles ). C'est là que Jésus fait volte-face ? Est-ce après une
grâce que Jésus aurait déraillé du plan ou a-t-il dû libérer Jésus sous la
pression du peuple ou contre attaque de ses partisans ? Diverses théories sont
échafaudées mais vu le peu de textes historiques qui nous sommes parvenues sans
être falsifié, il sera difficile de connaître un jour la vérité. Pilatus paye cher cet échec parce que convoqué
à Rome
pour se justifier auprès de l'empereur, son beau-père adoptif, il trouve en arrivant dans
la capitale, Tibère remplacé par Caligula. La réputation de cet empereur fou
n'est plus à faire et le gauleiter de la
Palestine se trouve exilé en Gaule à Vienne où une mort violente
l'attend ! Conclusion ;
Jésus et Barabbas sont qu’une
et indivisible, ce
nom est tout simplement
un nom de clandestinité comme tant de résistants de tout bord ont pris
depuis toujours d'ailleurs il faisait de la résistance comme son père dont il
se réclame, que la vérité absolue ne nous parviendra peut être à plus jamais.
Une chose est néanmoins sûr nos saintes
rédacteurs nous ont menti
même s'ils l'ont fait
pour notre bien il n'y a pas de prescription pour ce type de méfait. *Dictionnaire de la Bible de André Marie
Gérard **Les lourdes secrètes de Golgotha de Robert
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