Dragons et serpents
Ces animaux sont omniprésents dans toutes les mythologies, contes et
légendes depuis des temps le plus reculés jusqu’à ce jour. Il suffit d’ouvrir
la télévision au prime-time des enfants pour voir toutes sort de monstres, la
plus part du temps notre dragon du passé a endossé l’habit du dinosaure, ce qui
lui donne une légitimation en conformité avec notre époque moderne. D’où viennent cette fascination pour cet animal maudit et sa chimère le
dragon ? Mon cousin, qui fût pendant une grande partie de sa vie missionnaire en
Inde, me donnait l’explication suivante. Le serpent est un animal dangereux et souvent mortel, aucun endroit est
hors de son porté et représente une menace permanente au point de devenir une
obsession. Pour que cette bête nuisible se transforme dans un monstre qui crache le
feu il faut y apporter d’autres raisons ? Que dit l’étymologie du mot «dragon»? Ce mot veut dire en grecque drakon dont la
traduction est serpent. En somme nos avons crée deux mots distingues à partir du mot d’origine
grec. Est ce les Grecs qui ont inventé ce monstre maléfique ? Sûrement
pas ! A quelle époque remonte cette allégorie ? Nous n’avons pas de traces
au-dessus du deuxième millénaire. Personnellement je pense qu’il faut chercher
cette création chez les Hittites après l’explosion de l’île de Santorin. Voilà pourquoi le dragon crache du feu ! Bien sûr !
Nous n’avons pas de suivi historique pour dire comment cette bestiole se
trouve chez les Chinois, Mayas, basques, Vikings et autres peuples. Chez les Chinois le dragon s’appelle «lung »et sa copine le phénix «feng » ou en Indonésie
«Garouda » également leur compagnie d’aviation. Je soupçon fortement que l’idée de ce symbole soit venue de la Grèce peut
être de chez les Hittites ? Dans le livre de Dr Tollmann «Und die sintflutt gab es doch »ce
professeur démontre que cette mythologie provient d’un cataclysme cosmique vers
7500 B.C. du à un fragment d’une comète. Photo à l’appui il montre un impact en
rotation dans le ciel qui laisse une trace similaire à un dragon tel que
présenté aujourd’hui lors des fêtes du nouvel an chinois. En plus une belle
photo d’une couronne du dernier millénaire montre que la montagne dont
s’échappe de la fumée est d’après son explication un rad marré provoqué par l’impact. Ci-joint
la photo qui à mon avis est plutôt un contre argument de la thèse d’une
catastrophe céleste parce que la montagne a bien l’aspect d’un volcan. Il n’est
pas impossible que les Chinois aient assisté à un désastre du ciel. En 1908
Dans le nord de Sibérie un fragment de la comète Enke détruit soixante kilomètres carrés. Pourquoi quatre mille ans plutôt les Chinois
n’auraient pas pu assister au même phénomène ? Je ne crois pas aux inventions
simultanées et dans le temps et sur son contenu ! Le fait qu’il existe
aussi bien chez les Chinois et Moyen orientaux des mythologies similaires reste
suspect. Donc il y a copiage et en 1908 lung existe depuis des temps
immémoriaux. Pas de doute lung
représenté bien une éruption, le phénix correspond à la vie qui renaît après
que tout était détruit par le feu d’un volcan. La terre volcanique est une des
plus fertile. Chez les vikings nous retrouvons le dragon sur la proue de leurs bateaux.
Nous les appelons «drakkars », mais ces peuples autochtones les nomment
«Snek » qui veut dire »serpent ». Je ne serais pas étonné si les
serpents de mer retrouvent leurs origines dans ces effigies si craint par les
marins qui les scrutaient jour et nuit au point de les voir virtuellement dans
la brume entre chien et loup. Le peuple basque a également un serpent céleste qu’ils appellent
«Sougar ». Le fait que ces gens vénèrent aussi la déesse Maia nous
retrouvons le couple Maïa et Typhon des Grecs un peuple avec qui ils ont noué
des relations maritimes depuis la période
phénicien. Au nord des Pyrénées vivent nos ancêtres les Gaulois. Eux aussi ont leur
serpent céleste et aquatique le N’vouivre Tous ces peuples ont puisé dans la mythologie grecque. La richesse de cette
culture et surtout la quantité d’écrite qui nous est parvenue ont occulté
l’historique des peuples environnant. La société grecque est autant redevable
au babyloniens, hittites, phéniciens, égyptiens, perses que notre civilisation
moderne est créditrice à l’enseignement Judio-greco-romain. Le dragon nous est déjà connu chez les néo-sumeriens de Babylone et fait
parti du panthéon zodiacal comme animal fétiche de Marduk sous forme d’un
serpent à cornes au-dessous de ses pieds. La place de la constellation du dragon n’est probablement pas gratuite mais
mes connaissances topo astral se limitent à constater que l’axe de la terre se
trouvait dans cette direction vers –2700 B.C. ce qui m’éloigne au moins mille
ans de la période de Santorin dont nous allons voir que c’est elle la mère de
ces monstres. Dans le chapitre de l’Atlantide j’explique que la légende de Oullikoummi
décrite phase par phase le déroulement de ce cataclysme qui a eu lieu au milieu
du dix-septième siècle B.C. (-1643). Le conte est appelé conte babylonien mais
correspond à la mythologie hittite. Ceci n’est pas étonnant parce que Babylone
fut occupée par les Hittites une centaine d’années après l’explosion. Ce peuple
fut au première loge lors du grand boum ou plutôt Le peuple Hatti que les Hittites ont soumis et avec qui ils se sont mêlés
lorsque la grande famine s’est installée à cause de cette éruption. Les
témoignages oculaires ainsi les comptes-rendus des rescapées ont dû circuler
parmi ces populations éprouvées. L’éruption est représentée comme un être maléfique sous la forme d’un
monstre en pierre. Si cette légende donne bien l ‘explication du déroulement, elle n’est pas à l’origine du
ou des monstres célestes. Pour cela il faut reprendre la lecture de la création
de l’homme. Dans ce texte on retrouve aussi l’éruption de Santorin. Les monstres sont
crée par la grand-mère Tiama qui déclenche une guerre sans merci contre Marduk. Les Grecs reprennent cette allégorie en nomment ces monstres Typhon,
Dragon, Chimère, Hydre, Cerbère et autres Furies et Mégères. Marduk devient
Zeus (voir la dérive du nom chapitre Zeus) et Tiamat devient Maïa. Le nom Tiamat est écrit en cunéiforme de doit à gauche et donne par
quelqu‘un qui lit de gauche à droit Tamait Dans ce nom sans «t » on trouve la syllabe amai qui aurait pu être utilisé pour former
le nom de cette nouvelle créatrice du monde grecque en s’inspirant de leur
propre mot indo-européen mère et «amai »est une anagramme de maia.
Le mari de Tiamat est Apsou qui représente chez les Babyloniens la mer salée.
Dans le livre l’univers fantastique des mythes est montre un volcan dans la mer
avec la légende suivant ; un volcan
surgissant de la mer illustre de
façon réaliste la création à partir du chaos, telle que la décrivent de nombreux
mythes. Très bien, très bien, continuez la conclusion n’est pas loin. La légende de Illouyanka est un dragon qui est tué par un dénommé Houpasiya
lors d’un banquet et est à rapprocher à la légende du mariage entre le fils du
Dieu orage et la fille du dragon. Le dragon représente les méchants Gasgas, (un peuple montagnard du nord de
l’Anatolie avec les quelle les Hittites furent constamment en guerre). Il est
fort à parier que ce peuple vénérait un des nombreux volcans de la région
montagneux qu’ils habitaient, mais nous n’avons pas d’écrit de ces illettrés.
Le nom Illouyanka veut dire en langue hittite serpent ! C’est chez les Phéniciens que l’histoire se mue en levitan et plus tard les
chrétiens le transforment en St Georges et le dragon. Il me reste maintenant à expliquer le reptile si perfide qui nous a tous
précipité dans ce monde où il faut travailler à la sueur de notre front et
enfanter dans la douleur. Si la bible est de moins en moins connue en France, tous connaissent
l’histoire de la genèse. Le texte sacré fut élaboré par le peuple juif après
leur exile. Il s’agit d’une compilation de différents contes en cours en
Mésopotamie et certainement des éléments que les juifs ont conservés de leurs
origines d’Arabie. Le mot Eden est désigné par les Mésopotamiens comme les espaces hors la
ville le mot Paradis vient du Persan: Paradeis qui correspond à un jardin luxuriant entouré
d’un mur dans laquelle vivaient des animaux sauvages bien nourris donc pas très
dangereux, avec à l’entrée de l’accès, des lions ailés appelés Kéroub (KRVB)
aussi Karibu en assyrien qui pour nous devient chérubin qu’on trouve devant la
sorti pour interdire un retour de nos pécheurs. Le chérubin est armé avec un
glaive en feu. L’arbre de vie est également un symbolique propre au sumériens
et qu’on peut voir sur pas mal de représentations. La pomme est considérée
comme fruit aphrodisiaque, un fruit rare dans ces pays, donc désiré, nous
faisons encore pareil avec certains mets exotique. Explication la femme désire l’objet recherché et la paye de sa générosité.
La création de Eve avec la côte de Adam est révélée par Kramer, il existait
chez les Babyloniens un jeu de mot suivant: TI veut dire donner vie mais
comme toutes les langues agglutinantes qui possèdent beaucoup d’homonymes ce
mot est aussi côte. Leur plaisanterie blasphématoire envers leur déesse Ninti
fut de l’appeler (nin=dame) donc dame
de la côte. A la page extérieur de ce livre nous voyons le parallèle avec le dragon des
chinois qui jette sa boule de feu vers la terre en plus la flamme du glaive
fulgurant est la symbolique du feu céleste, la présence de volcans chez les
proto Hébreux est attestée dans le récit de la destruction de Sodome et Gemorre
cette ville dans laquelle Lot cousin de Abraham failli être enseveli comme un
vulgaire pompéien ou herculunumien. Ne cherchez pas ces villes au bord de la
mer morte parce qu’il n’y a pas de volcans dans ces parages. Par contre les
volcans sont courants dans le Hedjaz en Asïr entre Yémen et La Mecque. Des noms
comme S.D.M. (Sodome) sont courant dans ces coins. Ceux qui cherchent ces
villes disparues depuis quatre mille ans peuvent toujours chercher autour de la
mer morte il n’y a jamais eu la moindre activité volcanique dans ces endroits
(errare humanam est perseferare diabolicum). Adam et Eve ont du quitter leur terre natale pour galèrer dans un endroit
hostile. Leur fils Caïn fut banni à l’orient d’éden ce qui veut dire pour
l’Asïr le plateau désertique d’Arabie. Ce qui voudrait dire que nos grands
aïeuls n’ont dû rester pas loin de leur terre natale mais suffisamment éloignée
de la colère de leur dieu c’est à dire le volcan dévastateur. Conclusion dans cet exposé il est démontré qu’il existe une multitude
d’histoire sur le dragon, tous aboutissent à des volcans, mais l’origine de ces
légendes est à chercher chez les Hittites et en particulier avec l’explosion de
Santorin. C.J.Wijngaards 19-02-01
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