Koummiya sorti de
l’abysse L’abysse est un mot grecque pour désigner les
profondeurs de la mer. Ce mot trouve son étymologie dans le moyen orient chez
les sumériens dans le mot ABZU qui présente les eaux souterraines primordiales. Dans la légende de Oulikoummi le Dieu EA tranche les chevilles de l’enfant monstrueux
en pierre, et expédie de ce fait la ville capitale de l’île 800 mètres sous la
mer. Depuis ce tragédie ces profondeurs sont
remonté de nouveau à la surface par des éruptions successives mais il n’y a
aucun espoir de retrouver la moindre pierre taillé ou trace de cette ville
montagne englouti dans le caldeira, ce qui veut dire en portugais
« chaudière », dans laquelle tout a été fondu et transformé en lave ou pierre ponce. Bougez
la souris au sujet du foto satalite de Santorin
Avec un destruction aussi radicale essayer de
décrire cette ville maudite paraît bien téméraire. Bien d’écrivains ont esquissé cette ville
légendaire d’après les maigres textes de Platon et ont fait rêver des millions
d’enfants et adultes et même cette année nous avons encore eu droit à un film
de Walt Disney dont on peut dire que seul le nom « Atlantide » a un
quelconque rapprochement avec les origines de ce peuple descendants de ATLAS
(mot qui veut dire « celui qui porte » ou écrit «
Télamon).
Avant de parler de la ville nous pouvons
aujourd’hui reconstituer en grand parti l’historique géologique de l’île de
Santorin, nom qui vient de Saint Irène mais que les grecs appelaient »
Callisto » (la belle) et les historiens antique désignaient « Strongyle »
( la ronde ou circulaire). Le vulcanologue Walter Friedrich nous éclair
beaucoup sur la formation de l’île et pour ne pas réécrire le préhistoire
paléontologique je commence avec l’effondrement du volcan et la formation du
caldeira il y a 25000 ans . Après la descend du parti centrale de l’île nous
retrouvons à peu près les dimensions de l’île actuelle à part que l’ouverture
dans le nord et reliant cette parti jusqu'à l’île dAspronisi en englobant l’île
Therassia forme un grande serpette dont les deux bouts se rejoignent près que
et puis à l’intérieur figure un grand lac. Nous sommes en plein dans la période
glacière et les mers sont 120 plus bas. Vu que les profondeurs autour de l’île
sont bien plus que ça nous pouvons dire que nos ancêtres cromagnons n’ont pas
eu le loisir de contempler ce spectacle. à Partir du magdalénien vers –12000 B.C. le
volcan remplit à nouveau le lac du caldeira en formant un île volcan comme nous
pouvons observer aujourd’hui avec les têtes des volcans paléo- et néo-kameni .
Cette île est appelé par Friedrich « pré-kameni » et il le
dimensionne et fait figurer son emplacement comme si nous sommes dans la
situation actuelle. Néanmoins cette île a en plus des anneaux circulaire
concentrique suite aux diffèrent effondrement partielle du toit de la caldeira
ce qui donnerait une explication au texte de Platon concernant les fameux
canaux concentriques.
Les travaux scientifique de ce chercheur sur
l’histoire géologique des partis existant comme par exemple le mur du caldeira
sur la quelle on peut trouver des vestiges qui démontrent que lors de
l’explosion du minoen le caldeira existait ne sont pas à prendre en doute mais
donner les dimensions de île pré-kameni me paraît hasardeux. En tout cas je
n’ai pas trouvé une tentative scientifique pour retrouver un volume qui peut
être calculé d’après les traces des cendres laissé dans les pays environnant.
En effet le volume des cendres expulsé est égale au volume englouti pour
combler le vide créé par le refroidissement des gazes qui ont soufflées les
matières solides. Dans chapitre 10 de son livre » the Fire in the
sea » Friedrich démontre l’évolution des idée sur la situation de l’île il y a 3675 ans et que
ces derniers 20 ans les modèles varient d’un île entier à la description
ci-dessus.
Le diagramme des isobares des relevées de
l’épaisseur des cendres donne d’après le tableau de Mc Coy et Heiken d’après
mon estimation rudimentaire environ 67 kilomètre cubes de projections et me
paraît bien élevé quand on estimait jusque là cette volume à 30 km3. Une montagne de 10 KM à la base et 1000
Mètres de haut représente ce volume et je peu donc dire que l’île
pré-kameni fut la taille de la caldeira
et en hauteur entre 1000 et 2000 mètres, ou même plus en prenant ces
dimensions de 67 km3 en compte !
Autre chose que on peut pronostiquer sans
trop de risque que ce volcan, qui c’est constitué depuis des dixième de
millénaires et malgré des effondrements successives a du être couvert des bois
comme île de Madère qui est également un île volcanique et hérite son nom du
portugais Madeira qui veut dire dans cette langage « bois « dont il
fut couvert avant la grande incendie dans le dix-huitième siècle provoqué par
l’homme et qui lui a fait perdre un grand partie de sa verdure (la terre volcanique
est une des plus fertile au monde avec l’eau qui coule de ces flancs). Les études des scientifiques géologique et
historique d’aujourd’hui nous laissent la place pour les écrites de nos anciens
comme Platon !
Que dit-il de cette endroit ?
D’abord
Platon nous présent cette île comme une plaine surmonté d’un montagne de
dimensions médiocre avec source d’eau chaude et froide et parle aussi de la
semence de la terre et Vulcain, donc désigne bien un volcan.
Que veut dire une altitude médiocre ceci est un
qualificatif indéterminé par contre les dimensions comme 50 stades sont une
mesure concrète et laisserait entendre que la caldeira fut presque remplie par
le volcan et sa plaine. L’indication que ATLAS fut le première roi nous donne
comme déjà cité que l’emplacement est bien à cette endroit ou la ville de
Koummiya disparaît.
Pour accéder
sur l’île (pré-kameni) on traversait trois ports qui sont
vraisemblablement les fameux anneaux qui se forment lors de différents
effondrements partiels et qu’on peut retrouver dans un autre endroit volcanique
au monde comme une vagination d’un intestin. Coté archéologique il n’y reste
plus de trace et nous laissons l’entière responsabilité de ses écrite à notre
philosophe grecque.
Un dernier point soulevé par Platon est la non navigation ou accès par la vase
déposé lors du cataclysme et qui correspond bien au pierre ponce que notre
marin d’eau douce appèle » vase » chose rarement créé par des volcans
et surtout Santorin.
Ça y est nous avons maintenant retrouvé l’endroit et configuration de cette île
énigmatique et dessiné au page suivant. Le volume du caldeira sous la mer est,
avec une profondeur de 800 mètre, environ 30 KM3 et si mes calcules sont exacte
la parti émergé peut être autant mais dans ce cas il serait plus de question
d’anneaux navigable et la montage serrait plus que 1000 mètres d’hauteur encore
vaut-il prendre aussi en compte la parti nord et ouest qui furent rayé de la
carte et qui sont aussi quelques KM3. L’image dans le livre de Friedrich comme un
oeil de oiseau avec pré-kameni comme pupille même avec les anneaux ne me
satisfait pas surtout que depuis le grand boum de 25000 ans passé et –1675 B.C.
le volcan aurait presque grandi autant ces dernières 3675 ans ? Maintenant les choses deviennent plus
difficile c’est à dire rebâtir la ville de Koummiya parce que même Platon nous
aide pas beaucoup. Heureusement nos Atlantes ont pensé à tout et ont laissé un
ville sœur à notre disposition pour que je puisse m’inspirer de leurs use et
coutumes. Quand on visite ce capitale on serait prêt à croire que la ville disparue
est cette Pompeï préhistorique qui se
trouve à coté de la ville de Akroteri. Pourquoi ces ruines ne sont pas
Koummiya ? D’abord il n’est pas sur les épaules de ATLAS et en suite il n’a pas des sources chaude et
froide et puis rien n’indique dans les écrits que cette ville soit au bord de
l’île. Que dite la légende de oulikoummi sur cette
ville en dehors de son nom ? En somme pas grand chose, elle est situé dans
la mer et que le Dieu de la ville est Teshub qui est le Dieu des vents chez les
hittites et certainement un Dieu important vu que la navigation est commandé
par lui en plus l’île a du être en permanence dans les vents, situé en plein
mer et en plus une montagne crée des courant d’air ascendant comme pour ce
projet en Australie avec ce tour de 1000 mètres qui permettra de alimenter un turbine d’air pour une
centrale électrique.
La plaine fut une des terres le plus fertile,
on ne doute pas un instant vu que nous sommes sur un terre volcanique bien érodé
depuis des milliers d ‘années et bien arrosé par l’eau des sources du
volcan il suffit de voir l’île de Madère pour s ‘imaginer ces cultures luxuriantes.
La plaine a du être exploité pour les cultures maraîchères et aussi des champs
des crocus qui sont présenté dans les tableaux retrouvé à Akroteri avec la
fille qui cueille du safran chose plus cher que de l’or au Kg et qui montre que
se peuple vivait dans une luxe hors du commun. La montagne fut forcement boisé
avec des animaux plus ou moins sauvage. Les dimensions de la plaine selon Platon est
de 50 stades du centre de la montagne. Un stade est 162à198 mètres donc environ
8 à 10 KM et ceci est la diamètre de la caldeira donc probablement vu avec
l’œil marin méditerranéenne mais très réaliste pour en fin de compte 3,5 km et
7 en diamètre de l’île pré-kameni.
La ville à du se loger au pied de la montagne
et pentes du volcan. Quand on voit la ville dégagé à Akroteri Koummiya a du être plus grand et
plus belle encore et il serait étonnant que Sir Minos n’avait pas établit ses
quartiers dans ces parages en tout cas c’est là que j’aurai mis mes pieds en
cherchant le paradis perdu.
Pour ne pas dire trop de sottises la ville
ressemble à sa rivale sur la terre ferme mais certainement plus conséquente en
riches et étendu. Surprenant est le fait
que nous n’avons pas trouvé de traces d’écriture qui est propre aux grandes
civilisations et sur tout cette invention avait déjà 1600 ans. En fait
l’écriture existait chez les Minoens dans cette période sous forme de ce que
nous appelons linéaire « A » et qui n’est à ce jour toujours pas
déchiffré.
Personnellement je pense que le peuple de
cette île et la civilisation Minoen est apparenté au Hatti qui précèdent les Hittites. Ces derniers racontent dans les
chante de Oulikoummi dans la période de
l’occupation de Babylone donc bien après ces périodes troubles cette cataclysme
les déboires de ce peuple malheureux
qu’ils ont du sus planter pour qu’ils puisent se nourrir et surtout les
Dieux qui crèvent la dalle à cause de cette éruption calamiteux.( voir la
légende de Télebinbinou avec le printemps disparu). Platon parle aussi d’un mur circulaire qui
borde l’île comme la plus part des grandes villes du passé mais bien en
contradiction avec ce que nous savons du peuple minoen qui n’avaient pas besoin
de ce type de défense vu qu’ils étaient protégé par la mer dont ils avaient la
maîtrise. Visiblement Koummiya qui est une île dans une île, est soit maître de
tout son environnement ou vit son pouvoir comme ville état du type « Hansa »
des pays nordiques au seizième siècle Le dessin dans le page suivant montre bien
les anneaux de collapsus qui donnent les 3 accès successive pour approcher
l’île et qui sont que possible si le caldeira est entièrement remplit.
Koummiya sacre cheminée !
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