Koummiya

Κаΰμε’πή ou kaumeni, prononcé à la française kaüménée est l’endroit dans la caldeira de l’île de Santorin où se trouvent aujourd’hui les deux têtes de volcan appelé Paléo-kameni et Néo-kameni.
Comparer des mots même si l’écriture est à l’identique est une démarche non scientifique, si ce ne sont que des comparaisons entre les racines des mots en question.
Les noms propres d’un lieu ou rivière se sont souvent conservés durant des millénaires. Nombreux ouvrages sont écrit sur ce thème, nous pouvons par exemple dire que le nom des rivières en Mésopotamie fut déjà donné par un peuple qui précédait les sumériens par la recherche linguistique.

Dans le livre de Salibi la Bible est née en Arabie l’auteur s’en donne à cœur joie dans ce domaine.
Depuis quelques années j’ai découvert la légende de Oullikoummi et quelques mois après avoir relu la texte j’ai compris le vrai sens de l’histoire, c’est à dire que ce récit n’est ni plus ni moins le compte rendu de l’explosion de l’île de Santorin voir le chapitre Atlantide mythe et réalité .
Pour moi il n’y avait donc pas de doute que la ville qui fut détruite par cette explosion est la ville Koummi ou Koummiya d’après les écrits hittite- hourite.
L’écriture est variable en fonction de la langue dans laquelle on vit. Par exemple le OU français s’écrit en allemand ou en anglais « U ».
La traduction de Oulikoummi est destructeur de la ville de koummi ou Kummi et aussi écrit Kummiya..
Où se situait la capitale de cette île ?
La ville de Akroteri dans le sud de l’île de Santorin nous
  montre un grand ville avec des fresques admirables et visiblement des bâtiments où il se pratiquait une forme de culte religieux.  ?
Est ce montagne habitée ?
Quand on voit sur cette montagne de la végétation et animaux cela veut dire que le volcan ne fut pas en activité ou juste assez pour ne pas détruire son environnement.
Forcement cet endroit stratégique avec l’eau chaude et froide végétation luxuriante entourée par des canaux circulaires
  naturels d’après Platon , qui se sont probablement  formés lors des différents effondrements successif et ont formé les conditions idéales pour établir une capital dans cette île.
Santorin faisait parti de l’empire minoen qui fut dirigé à partir de l’île de Crète selon les historiens, mais je ne serais pas surprise que ce capital a également joué un rôle important, du, fait de sa position de citadelle imprenable.
La conclusion que la mystérieuse ville de Koummiya fut à Santorin était pour moi de toute évidence la capitale engloutie sur le volcan de l’île, à 800 mètres de profondeur, avec le cataclysme du minoen il y a 3675 ans.
Que cette disparition fut également le récit de ATLANTIDE n’était plus à démontrer depuis les travaux de Spyridon Marinatos dans les années 60 qui avait postulé pour le première fois que la civilisation du minoen fut balayée par la destruction de leurs flottes et aussi leurs villes côtières ou résidait la majorité de la population
  par une Tsunami crée avec l’effondrement du caldeira de Santorin. En fin de compte cette explication n’est pas aussi simple que cet archéologue  méritant à pu donner en première instance et sa tragique disparition lors de l’effondrement de ses fouilles en 73 dans le site historique de Akroteri n’a pas stoppé pour autant ses travaux commencés, mais ceci sera développé dans un autre chapitre et retournons à la confirmation que la ville de Kummiya ne fut pas seulement l’explication de l’explosion de Santorin mais que cet légende est aussi la désignation de sa Capital. Selon le compte l’enfant Oullikoummi grandit sur les épaules Oupellouri ou selon l’écriture anglo-saxon Ubellluri. Ce Dieu est l’équivalent du Dieu Atlas des grecs or le nom de l’Atlantide fut donné d’après Platon parce que le premier roi de ce peuple fut Atlas et voilà ce qu’il fallait démontrer (C.Q.F.D.)

Deuxièmement l’endroit où fut jadis ce petit paradis s’appelle aujourd’hui Paléo-kameni et Néo-kameni qui sont les deux têtes «d’ancien et nouveau volcan » et j’ai fait le rapprochement entre Kameni et Koummi.
La traduction qui me fut donné par un vieux grec «  kameni est la place où les constructeurs de maisons brûlent des pierres dont j’en déduit que c’était pour faire de la chaux.
Mon épouse entendait le mot « Kamin » qui est en Allemand notre mot cheminé qui d’ailleurs trouve son étymologie dans la langue germanique et qui à son tour l’a puisé dans le mot grecque Kaminos.
Petit à petit je commence à me faire un idée plus précise de ce que fut cette ville avec sa destinée tragique bien que la majoration de la population ait réussi à retrouver refuge sur les îles environnant mais où une autre catastrophe les attendait lors de l’effondrement final et le raz-marée qui suivait sans parler de la famine à cause de la couche de cendre,
  la guerre civile et envahissement d’autres peuples.
Dans un prochain chapitre je vais tenter de faire revivre la ville Koummiya d’après la mythologie archéologie le récit de Platon et ce que j’ai moi-même pu humer sur place.

 

C.J.Wijngaards
06-10-2002*