Venus-Aphrodite

Ces Dieux nous sont connus de tout le monde civilisé actuel, leur origine est à chercher en pays grec et en particulier en Chypre.
Selon la légende Aphrodite est née de l’écume de la mer dans laquelle est tombé le sang de la castration de Uranus.
Chypre n’est pas très loin du levant et c’est bien de là que vient notre Aphrodite qui s’appelait Astarte ou Aphoret, Déesse de l’amour et sœur de Baal.
Mille cinq cents ans avant cette même déesse existait déjà chez les Sumériens sous l’appellation Inanna et plus tard par les Akkadiens Astarte.
Depuis la nuit des temps elle représente la planète Venus et correspond à la déesse de l’amour physique.
Depuis quand date cette éponyme ? 10000 ou 20000 Ans ou plus d’années. La planète qui est visible en premier le soir et également le matin fut probablement cette déesse. Est-elle la représentation des déesses comme Brassempour ou Willendorf, difficile à dire et nous ne le saurions probablement jamais par faute d’écriture ou traces clairement indicatives.
Vers 3000 avant J.C. les écrits débutent et il n’est pas encore facile de comprendre que veulent dire ces primitives rédacteurs.
De 3000 B.C. à 2000 B.C. la planète Venus
  est désigné pour représenter l’amour physique et le personnage est exploité dans l’épopée de Gilgamesh ce personnage contrairement aux autres acteurs de l’épopée n’est pas une personnalité historique royale comme Nimrod ou Gilgamesh, parce que les rois sont masculin et la planète Istarte est une femme donc pas de place dans l’arbre généalogique royale.
Dès le début du 2 ieme millénaire nous trouvons en Egypte la déesse Isis en somme inspirée par le culte des sumériens avec leur Inanna.
Lorsque à l’époque où il n’avait pas encore des méthodes modernes de travail de groupe les résultats de travail à l’école furent à peu près identiques nous étions punis pour délit de copinage ou copiage.
l est une évidence que les civilisations de cette époque ont reprise
  leurs concepts comme l’écriture et religion entre eux bien que les preuves matérielles en soient absentes.
Croire que deux civilisations peuvent arriver au même résultat indépendamment chacun une pour soi est à exclure !!
Il est quand même surprenant que les Egyptiens n’aient pas adopté le char autrement dit «roue et cheval ». Ceci laisse penser que cet équipement n’était pas présent chez les Sumériens vers 3100 B.C. au moment où l’écriture fut adoptée chez les Egyptiens qui à partir de cette époque se sont enfermé comme un introverti qui se bloque contre tout nouveauté de l’extérieur. Vers 1700 B.C. ils payent cher cette absence d’armement moderne et se vont envahir par les Hyksos. (Voir chapitre explosion de Santorin).
Si l’Egypte
  conserve pieusement le nom de Isis, dans le reste du moyen orient le nom de Inanna initial serra reprise et modifié systématiquement ;
D’abord par, le changement linguistique quand Sargon I en 2340 décide de changer la langue sumérienne pour l’akkadien.
Vu que la langue sémitique diffère autant du
  sumérien que le français du chinois et que l’écriture syllabique sumérienne a été inventé pour leur langue agglutinant avec peu de mot monosyllabique
Il est fort à parier que nous assistons aux fameuses confusions des langues de Babel.
D’or en avant le nom de la déesse sera Istarte et quelques siècles plus tard elle devient Astarte chez les Phéniciens et aussi Anat (M. Danielou Alain laisse entendre que le nom vient de L’hindou par le nom de Anne). Il y a certes une influence Aryenne vers 1600 B.C. avec l’arrivée des Cassites et aussi les Hittites. Le royaume Midanitte a certainement transmit une influence néanmoins on peut dire qu’elle est toujours proche de son origine sumérienne Inanna.
De Liban à Chypre et de Chypre à Crête nous voyons le nom changer de Aphoret en Aphrodite et encore connu à ce jour par les occidentaux que nous sommes et baigné dans la culture
  gréco-latine
Les romains ont pris l’intégralité du panthéon grec sauf leurs noms.
Le nom de Venus est d’origine celte et vient de la déesse Vanne D’après les celtologues.
La coté spirituelle reste à l’identique seul le nom change comme font les industries de marketing aujourd’hui on change l’emballage et on garde le contenue.
Chez les germains nous trouvons notre Venus sous l’appellation Freya qui donne le jour de vendredi et également connu sous le nom de Fryday ou fryda.
Dans la bible cette déesse a laissé son nom à la favorite de Assuérus (Esther). Chez les Arabes elle devient le nom de fille Aïcha (voir le chapitre la Shulamite).
Chez les Grecs ce nom Astarte sera reprise avec le mot Aster qui est le base étymologique pour tous les peuples indo-européens avec star sterne ster stellaire, même le sanscrite contient le mot star. Il est exclu que ce mot est venu des Indo-aryennes et provient comme les autres éponymes du levant ou Mésopotamie.
Dans l’épopée de Gilgamesh Astarte est l’hierodul* du ciel et prend comme amant Enkidu. Cet éponyme est à associer
  avec Doumouzi-Tamouze qui est d’origine Berger (voir chapitre Baal).
Nous appelons encore à ce jour cet astre du matin «étoile » du berger, ce qui ne vient pas des bergers qui étaient là quand Jésus fut nés ou d’autres explications fumeuses mais de l’épopée de Gilgamesh 2500 ans au par avant.

Hierodul est un terme qui de nos jours est bien loin de nos mœurs.
En effet la prostitution était sous le contrôle de l’église et faisait partie du revenu du clergé.
Je pense que si ces peuples voyaient notre société d’aujourd’hui ils ne comprendront certainement pas que nous laissons cette activité dans les mains de la pègre avec tout les conséquences néfaste et dégradant pour ceux ou celles qui tombent dans cette univers sans lois et protection.