Gilgamesh- Hermès

Si le dieu Hermès est connu par la plupart entre nous, le dieu Gilgamesh est absent dans notre culture gréco-romaine et survit encore dans quelques textes mythologiques pour enfants ou pour les érudites qui étudient les sciences du Moyen-Orient. Il faut dire que nos connaissances sur ce Dieu datent principalement du déchiffrage des tablettes cunéiformes depuis un siècle. C’est le découverte dans ce que nous appelons «épopée de Gilgamesh » de l’histoire de déluge qui a donné un coup de sensation à une mythologie babylonienne plutôt rébarbatif. Il n’a pas été facile de faire avaler aux croyants des trois religions monothéistes que la Bible ou Coran avait plagié des textes 2000 ans plus vieux.

Que les Grecs ont passer sous silence cette culture orientale n’est pas surprenant quand on connaît l’aversion que ce peuple avait en vers les Perses ! Ils ont eu tord parce que près que tout les Dieux

mythologique sont originaire du Levant et une grande parti de ce livre est consacré à le prouver.

Durant tout la période allant de l’époque sumérienne jusque l’arriver des Grecs l’épopée a influencé les différentes cultures qui se sont succédés et ce sont les noms des personnages qui change de temps à autre. La lecture aujourd’hui de l’épopée nous fait plus trembler nos enfants comme il y a quelques millénaires passées. Pour bien comprendre ce qui suit, il est nécessaire de lire au moins le résumé ci-dessous ! 

L’histoire de Gilgamesh

Résumé d’après contes et légendes de pierre Grimal

Il était une fois un roi de’ Uruk qui était d’une force et d’une grandeur prodigieuse. Ce roi s’appela Gilgamesh, deux tiers Dieu et un tiers homme. Au début de son règne c’était un terrible tyran qui abusait de tous les jeunes garçons ou fille de son pays. Les gens de la ville s’en plaignaient et s’adressent à la déesse Aruru, qui autre fois avait crée l’homme, et qui fait à nouveau un homme avec de la terre glaise et de l’eau copie conforme de Gilgamesh un homme rustre qui vit avec les animaux sous l’appellation Enkidu »textuel homme de terre »   Cet homme serait séduit par une servante de Gilgamesh pour aller à sa rencontre et les animaux fuient sa présence à partir de cette union. Quand Enkidu rencontre Gilgamesh une lutte s’engage entre les deux hommes mais étant de la même puissance  ils n’arrivent pas au bout de leur combat et se reconnaissent pour devenir des amies inséparables ! Après la fête du nouvel an ils vont ensemble pour sortir de l’ennuie, engager un voyage périlleux dont le premier étape est le forêt de cèdres dans laquelle ils font tuer le monstre Humbaba (baba grand) correspond au signe du lion. Chamas le dieu soleil les protège et ils vont le voyage en trois jours au lieu de six normalement. Au bout de six jours ils atteignent la porte de la forêt  deux heures et ils restent devant la porte, Enkidu a la main coincée et ils restent encore douze jours devient la porte, enfin ils rentrent et marchent une journée. A midi ils abattent un cèdre ce qui provoque Humbaba. Le combat est terrible mais nos amies sont vainqueur.

Istarte est séduite par ces exploits et fait une demande en mariage à Gilgamesh. Le héros n’est pas dupe et demande qu’a-t-elle fait de ses anciens amants comme Tammuze. Fou de rage elle va voir son père Anu et demande d’envoyer le taureau céleste sachant que ceci peut provoquer sept ans de famine. A nouveau nos amies sont vainqueur grâce à l’exploit de Enkidu qui arrive a arracher une arrière patte. Istarte pousse un grand cri. Les dieux sont quand même offensées et décident de faire mourir Enkidu. De jour en jour Enkidu faiblit et Gilgamesh lamante son compagnon pendant six jours. Gilgamesh prend conscience qui lui aussi est mortelle et engage une cours pour la quête de l’immortalité. Il va à la recherche de son ancêtre Utnapishtim qui avait survécu au déluge. Premier étape les hommes scorpion devant la porte du soleil, le voyage de deux fois douze heures dans le tunnel et arrivée dans un jardin avec des fruits en pierre précieuse dont la gardienne veut qu’il reste mais une fois de plus notre héros montre son coté misogyne et continu sa route dans le sable brûlant.

Il arrive à une auberge et il est chaleureusement accueilli par la cabaretière qui le conseille de profiter de la vie parce que tous les hommes sont mortels mais ne se laisse pas non plus convaincre et continu son chemin. Il est pris en charge par Urshanabi le batelier qui avait dirigé autre fois l’arche de Utnapishtim et le conduit vers les rives où son maître coule un retrait éternel. C’est là que notre héros apprend l’histoire du déluge tel que nous l’avons appris dans la bible a quelques variants près. Il n’obtient pas l’immortalité mais son ancêtre lui donne une herbe de juvénilité. Sur son retour il se fait dérober l’herbe précieuse par un serpent et depuis ces bestioles changent leur peau une fois par an. 
De retour au pays Gilgamesh vit encore longuement et meurt comme tous les hommes.

L’épopée est écrite vers 2340 AV. J. C. et est une compilation d’histoires sumériennes du début II millénaire et probablement même avant. Nous avons à ce jour pu vérifier que le personnage de Gilgamesh a réellement existé et les historiens ont déterminé une date autour de 2650 av. J.C. Un compte-rendu au temps de Babylone d’un scribe relate un fait divers ; citant un roi Gilgamesh qui veut se battre  contre son ennemie Ag-ga. La chambre des anciens n’est pas d’accord et il se retourne ver la représentation des jeunes qui eu sont des va-t-en guerre comme lui, la situation n’évolua pas dans le sens souhaité et notre Gilgamesh se réconcilie avec son ancienne ennemie.

La lutte entre Gilgamesh et Enkidu trouve ici son origine.

La création de l’épopée était loin d’un conte pour enfant. Regardons à nouveau ces génies sumériens :

L‘énumération de toutes les créations de ces géants dont nous utilisons encore à chaque moment de la journée est trop longue pour en parler dans ce chapitre et je me limite à quelques créations dans l’atronomie.

Comment répertorier des dizaines de millier d’étoiles dans le ciel sans cartes astrales ?

La solution sumérienne: ils ont divisé le ciel en douze parties égale sur une bande limitée entre X et Y dégrée.

Les configurations des étoiles reçoivent  des nomes, principalement des animaux et ce système seront repris par les Grecs avec quelques animaux différents et l’appellation «zodiaque»comporte le mot zoo du grec «animaux». S’y il y avait que les étoiles dans le ciel je pense que les  

Sumériens ne se seraient pas beaucoup intéressé à les observer pendant des milliers d’années et les comètes seules peuvent expliquer un que un intérêt limité. Ils ont peut-être eus quelques souvenirs d’un impact comme notre ancêtre les Gaulois qui ne craignaient que le ciel leur tombe  sur la tête ! La véritable raison est de prévoir les saisons de l’année pour  savoir quand semer quand récolter  quand vient la saison des pluies ainsi de  suite.

La vie dans le zodiaque est bien monotone en dehors des étoiles  filantes comètes peut-être une nova tous les milles ans et le déplacement d’un signe du zodiaque toutes les 2000 ans, que nous appelons précession, est trop lente pour présenter une quelconque utilité  bien que ceci n’ait pas échappé à nos sumériens astronomes, mais quel changement quand nous observe les planètes, lune et soleil ou les éclipses.

Pour les astronomes  de l’époque les planètes sont des étoiles mobiles et leur suivi ne pouvait pas être décrit par un zodiaque bis. C’est là qu’intervient l’épopée de Gilgamesh. Les planètes reçoivent des nomes des anciens grands rois et nous allons les rencontrer sur le zodiaque. Exemple Enkidu rencontre Istarte en fait-il est dit-il rentre dans la maison de Venus (terme aujourd’hui employé pour la planète du berger) et même  on parle encore en astrologie et la maison de Jupiter ou Venus.

En somme L’épopée décrite les tribulations de Gilgamesh avec son compagnon Enkidu sur le zodiaque et notre ancêtre mésopotamien pouvaient  d’un seul coup d’œil dans le ciel voir dans quelle période de
l’année ils étaient (le calendrier de la poste n’existait pas à cette époque). Je ne crois pas que la démocratisation de ces connaissances existait, il est plus probable que les prêtres astronomes ont gardé ce savoir pour distribuer les résultats au compte goutte comme au fin de notre premier millénaire pour calculer la date de pâques voir livre de David Erwing Ducan «le temps conté»

Le caractère astral de l’épopée a du se perdre avec le temps. Le livre de Pr. Papke démontre bien tous les aspects astronomiques de cette épopée. La création de cet oeuvre est attribuée à la fille poète  de Sargon. La date est calculée en fonction du déplacement de la signe de balance qui 1) est crée sous le règne de Sargon en reconnaissance du règne de la justice 2) indique l’égalité entre jour et nuit donc équinoxe et chaque astronome de dimanche est capable de calculer une date correcte avec ces donnes.

Ce livre explique aussi pour quoi Gilgamesh était deux tiers  Dieu et un tiers homme ; La constellation

De Gilgamesh  appelé Sipa-si- anna dépasse un tiers la bande du zodiaque.

Dans les représentations sculptées nous voyons Gilgamesh étrangler un lion en le représentant comme un géant. Cet exploit sera répété par Samson et Héracles. Selon les écrites Gilgamesh était un géant et ses dimensions étaient 6 coudes ! A l’époque un coude équivalait à 50 cm donc notre sieur devrait mesurer au moins 3 mètres. C’est là que Pr. Papke nous signale qu’il existe aussi des coudes astraux et que les dimensions de la constellation Sipa-si- anna correspondent bien aux 6 coudes astrales. Les géants étaient sur terre selon la Bible et les Grecs ont également connu des Titans, il ne serait pas étonnant de voir une cause commune pour cette mauvaise interprétation des donnes dimensionnelles.

Interprétation de l’épopée par Papke donne aussi l’explication des personnages Biblique comme Cham, Kuch, Nimrod, entant que Roi sumérien ou la connaissance topo astral des planètes, quand on voit qu’à ce jour les jours sont dans le désordre vu la position dans le ciel des planètes, nous devons tout le respect à ces gens là qui n’auraient certainement pas permis de faire de telles bourdes.

Le personnage principal de l’épopée est Gilgamesh néanmoins son ancêtre Nimrod ou Enkidu sans oublier la hiérodule Istarte connaîtront encore une succession glorieuse chez les Phéniciens et grecs, tandis que Utnapishtim prend son retrait dans la Bible sous le pseudonyme Noé. Tous ces personnages seront traités dans les chapitres suivants.

Les acteurs de l’épopée sont prés que tous des anciens rois de la première dynastie de Uruk dont voici les premier 5 d’une liste de douze.

Liste royale post diluvienne
de Uruk

Planète correspondante

Nom Biblique

 

 

 

Ziusoudra (liste antédiluvienne)

Pas de place dans le ciel 

Noe

0) Chamas (Dieu solei)

Soleil

Cham

1) Mes-ki-ag-ga-se-ir

Saturne

Kouch

 (fils du dieu soleil)

 

 

2) En-me-kar

Jupiter

Nimrod

3) Lougalbanda

Mars

onbekend

4) Doumouzi de Visser

La Lune

Tamouze

5) Gilgamesch

Mercure

Nabu

 

 

(chodonosor)

6)……………….

 

 

Ce tableau contient trois personnages qui nécessitent explications.

Ziusoudra  ou dans la version sumérienne Utnapishtim est la dixième et dernier roi de la liste antédiluvienne et n’aura pas de corps céleste !

Shamash ou dans la version sumérienne Utu est le Dieu soleil et provient du néolithique dont Mes-ki-ag-ag-se-ir se dit descendant comme les pharaons.

Doumouzi est écrite dans la liste royale «le pécheur» alors que dans l’épopée on parle d’un «berger »

S’agit-il d’une erreur de scribe parce que dans la liste antédiluvienne il existe également un roi Doumouzi mais qui cette fois-ci est affublée de berger. Ces pauvres scribes sont comme nos moines copistes, nous mettons tous les problèmes historiques et religieux sur leurs dos.

Dans l’épopée Doumouzi est appelé Enkidu.

Reste l’hiérodule Istarte, en sumérien Inanna qui ne peut pas figurer dans une liste de régnants.

La déesse a du exister depuis la préhistoire et quand nos archéologues trouvent une statue de femme ressemblant à une Hottentote nous donnons le nom Venus préhistorique.

Dans l’épopée nous trouvons notre héros et son clone frère (non par affiliation) mais semblable au jumeau qui donne naissance au signe du zodiaque ils partent ensemble combattre le monstre Humbaba toutes les représentations de cet événement sont un Gilgamesh qui étrangle un lion et voilà le deuxième signe. Remarquez que Gilgamesh se fait aider par le soleil. A l’aube la lumière du soleil fait disparaître les étoiles et donc la constellation du lion. La durée que les compares restés devant la forêt de cèdres est donne 12 jours puis vient Istarte qui veut épouser le Héros mais ce dernier fait comprendre qu’elle sera trop exigent et l’interroge de quoi elle avait fait de ces anciens amants. L’offense est mal vécue par le hiérodule et elle demande à son père Anu de lancer le taureau du ciel sur ces malotrues. Le taureau est aussi vaincu c’est même Enkidu qui lui arrache la patte arrière.

Ca en est de trop et Istarte demande vengeance au Dieux. Le verdict est la condamnation de Enkidu et en effet il tombe malade et devient de plus en plus faible(la lune évolue vers la nouvelle lune) finalement Enkidu meurt et notre Gilgamesh le pleurera pendant 6 jours et 7 nuits. L’explication est la suivant : toutes les planètes évoluent dans le zodiaque mais la lune quitte cette bande astrale.

Le culte  de Tamouze (Doumouzi) trouve ici son origine ! et le prophète Daniel nous rappel que les «femmes pleurent Tamouze» il s’agissait des grains qui vont en terre et meurent pour donner une nouvel vie.

Il est intéressant de noter que l’histoire du taureau céleste existe aussi pour la Crète et Anu rappelle sa fille que son venu sur terre ravage les cultures pendant 7 ans pour mémoire sur Crête le taureau fut blanc. Je vois dans ces légendes l’explosion de l’île de Santorin et le taureau blanc la couche de cendres plinienne ou nuages mêlés de cendres et vapeurs d’eau. !Quand la vengeance de Ishtar échoue, elle pousse un grand cri !  L’explosion du volcan fut audible à des milliers de km ! Le sujet sera répris avec le chapitre Santorin.

Toutes les versions de l’épopée sont du II ème millénaire et l’épisode de sécheresse n’est certainement pas  d’avant 2000 parce que Santorin est vers le milieu 1600 B.C.

Gilgamesh est alors obligé de continuer sa route tout seul et après avoir vu son compagnon mourir commençait à prendre conscience que lui aussi est mortel et il va chercher l’immortalité auprès de son ancêtre Utnapishtim et arrive dans un tunnel gardé par des hommes-scorpion, notre signe du cancer.

 A la sorti du tunnel il trouve au bout de deux fois douze heures un jardin dont les arbres sont avec des pierre précieuses comme fruit. Ce jardin nous est mieux connu par les Grecs sous le nom jardin des Hespérides. L’offre faite à notre héros de s’y reposer est repoussée et il continue son chemin pour atterrir chez la «cabaretière »qui lui rend hospitalité et indique le chemin à suivre pour retrouver le Noé babylonien. D’abord il rencontre le batelier  de »l’arche » qui s’appelle Urshanabi, pour faire un long voyage périlleux et enfin il rencontre Utnapishtim qui lui explique que lui avait acquis l’immortalité en tant qu’être humain mais ne peut rien lui révéler, néanmoins il le console avec une plante qui rend la jeunesse, en somme l’élixir de jouvence, Mais…. en se baignant dans un source un serpent (un personnage qui nous est bien connu) lui dérobe ce précieux cadeau et retourne à son royaume pour y mener la vie d’un homme sage. La quête de l’immortalité est également le dernier travail de Heracles !

Maintenant que nous connaissons bien la vie de Gilgamesh le lecteur se pose la question que vient faire Hermès là dedans ?

Décembre 1997 à 2 heures du matin je réveille mon épouse en disant ça y est, je l’ai, la main dans le sac,…. réponse on verra ça demain.

Je venais de réaliser que la prononciation de Gilgamesh chez les Akkadiens devrait être comme pour hebron que les juifs prononcent comme Ghébronne la prononciation de Gilgamesh devrait ressembler à Ghélgamesh et avec la disparition de G donnerait Hérgamesh ou Hermèsh. Pendent deux semaines j’ai cogité sur ce découvert et il me vient à l’idée de transmettre  les origines du nom au P.D.G. de la société Hermès. Comme pour le précédant, la nuit porte conseille et je me posais la question comment trouver un whou is whou ! A 7 heures du matin j’ouvre la radio sur Radio classique et on m’annonce que le président de Hermès Mr.Dumas-Hermès allait être interviewé. Pas de doute le Dieu de la communication à pris les voies modernes pour passer ces transmissions. Le 24 décembre  j’envoie mes réflexions et le 25 une gentille réponse est envoyer que je reçois le 29. Un cadeau de Noël en forme d’un dessin de Hermès avec son sac maison. Quand je disais que je l’avais pris la main dans le sac en pensant au Dieu des voleurs je ne pensais pas au sacs de luxe de la société au même nom ! 

Peu de temps après ce découvert je me trouve chez mon dentiste qui me fait part d’un dieu qui règne sur sa corporation c’est à dire la médecine en Inde le dieu Ganesche qui est également le dieu des voleurs.

Chez les Grecs existe un autre héros, Heracles qui lui fait les 12 travaux comme tuer le lion, le taureau, visite le jardin d’hèsparides, et termine avec la quête de l’immortalité comme Gilgamesh.

Ici nous voyons que les Grecs ont dédoublé le personnage de Gilgamesh en donnant la fonction messager (sukkal) des babyloniens à Hermès et la fonction héros à Héracles. Ceci n’est donc pas une dérive linguistique !

La dérive du nom de cette dernière donne hercules et Mercures ou Mercure

Etant donné que Gilgamesh correspond à la planète Mercure chez les Babyloniens je peux fièrement mettre C.Q.F.D. sous le tableau de sa généalogie.
Je vois dans le signe de l’esculape de la médecine les deux serpents que Héra
  envoie envers cet enfant adultérine que Zeus avait conçu avec Alcmene. Heracles les tue en les enroulant autour d’un bâton. Dans le célèbre tableau de pompeï nous voyons le jeune Hercule étouffer les deux serpents pendant la scène de ménage de son père Zeus avec Héra et la fuite de Alcmene.

Il ne serait pas surprenant que les Grecs auraient inspiré leur légende sur les bases du culte minoen chez qui le culte d’une déesse existait. Nous ne savons peu sur cette déesse mais la provenance du levant me paraît le plus probable avec la terrible Istarte. La statuette de cette déesse avec son regard furibard brandissant les deux serpents dans mains est connue quiconque a visité l’île de Crête. 

Le nom Gilgamesh est la transcription de l’akkadien pour le mot sumérien BILGA - MES qui veut dire selon Jaques Glassner dans ces chroniques mésopotamiennes «l’oncle paternel est jeune »

Heraclès monoikos (le solitaire) devient Monaco.

Hermès, Hermoso en espagnol se transforme en Formose (ancien nom de Taiwan)

 Pompei, Maison Vettii