La gratuité

Ce terme n’est pas une création de Dieu. Rien n’est gratuit sur notre terre et même dans l’univers entier. C’est un miroir aux alouettes, diabolique et par conséquence un œuvre du malin.

La gratuité existe sous des formes multiples et est principalement issu d’un sentiment sociale ou maternel pour prendre sa source.

Vu que l’équilibre entre homme et femme est rompu depuis les derniers 50 ans le socialisme et féminisme ont amené les « bienfaits de notre monde modère avec une l’assistance du berceau jusqu’au tombeau pour tous ».

La grande erreur de nos doux utopistes est de déresponsabiliser chaque un et chaque une entre nous.

Dire par exemple  que la médecine est gratuite semble de la provocation quand on voit les cotisations que nous sommes obligé à verser aux différentes caisses et mutuelles. Pourtant une fois cotisé si vous n’en consommez pas… votre versement est pour les autres qui eux prennent deux paires des lunettes par ans et ont droit peut-être une troisième en cas de casse si non on fait bénéficier la famille enfant ou parents ou amies.


Michelangelo-Creation of Adam

Les visites médicale pour une gratouille ou papouille pourquoi pas, si on n’a rien à faire d’autre, mais ça consomme au moins du temps qui pour beaucoup n’est pas synonyme d’argent, parce que ils en ont (pas d’argent mais du temps) 35 heurs, fonctionnaire, retraité chômeurs, malades, vacanciers, rentiers, femmes au foyer et j’en oublie sûrement.

Pour beaucoup un acte médical ne coûte presque rien avec un complément de la mutuelle. ceci a deux conséquences ;

  1. pourquoi prendre soin de ma santé comme se couvrir quand il fait frais et humide ou combien d’autres excès de table, sport violents, ou au contraire sport modéré, drogues douce et dure, vaccination préventive etc.
     
  2. Je peux en consommer à la limite de mon assurance ou mutuelle si le temps m’en est imparti

Faire quelques remarques sur le « meilleur système d’assurance santé du monde nous sorte un peu de la gratuité mais tout bien regardé il est difficile de ne pas citer la sécurité sociale qui paye et la médecine qui prescrite.

Nous sommes dans un mécanisme pervers depuis plus que 50 ans mais qui trouve actuellement son paroxysme avec un Sécu obligatoire pour tous le monde (la CMU) et gratuit pour toutes les assistées éclopées qu’on peut ameuter. Pour ces derniers il n’est même pas nécessaire de fixer un rendez vous pourquoi venir à l’heure ? Quand c’est gratuit !

Ce système me rappel un jeux de dés pervers que nous pratiquions aux service militaire.

Le premier qui gagnait choisissait un mixture sur la liste du bar le deuxième le payait et le troisième devrait le boire.

De deux choses une, ou nous dirigeants qui organisent notre pays sont incompétent et idiots ou de grandes intérêts paritaires sont en jeux. Dans les deux cas nous allons dans le mur et notre système de santé est plus que malade sinon moribond.

L’audio visuelle:
Mon père nous sortait quelques fois l’histoire de tante Chrisje qui vivait autour des années 1920 au Pays Bas. Elle avait acquise le TSF tout à fait à ces débuts. Vrai ou faux mais il disait que cette tante laissait jouer le poste même en partant de la maison parce que elle avait payé la redevance audio et voulait en profiter au maximum.

Aujourd’hui j’affirme que notre TSF visuelle est gratuit parce que il n’existe plus de rapport direct entre l’acte de regarder et le payement. Si les téléspectateurs devraient payer pour les stupidités qui passent sur cet étrange lucarne je pense que l’audimètre s’écroulerait rapidement.

Le chauffage collectif:
Chose rare depuis le premier choque pétrolier de ‘73 où on assistait à des gens qui vivaient les fenêtres grand ouvert en plein hiver surtout pour ceux qui vivaient en bas et avaient un eau très chaude mais par conséquence les étages supérieur faisaient gla-gla .

Pour les travailleurs de l’EDF avec un prix de 12% de l’électricité rien a changé, mais là bien sûr nous sommes en plein bolchevisme collectiviste et tous ces perversions, mais nous avons quitté le monde HLM pour des coquettes pavions.

Tout usage collective about tôt ou tard à des abus bien qu’il est possible de imaginer un monde idéale mais la transcendance ne fait plus de recette et revenir aux méthodes simple comme chaque un responsable de ce qu’il consomme est plus simple dans un monde barbare.

Le pain gratuit:
Le dix-neuvième siècle fut secoué avec ce modèle utopiste de Charles Fourier en disant un grand costaud mange plus qu’un petit alors pourquoi payer son pain.

Au jour d’hui nous jetons pas ans 400 000 tons de pain par ans si ce denrée serait gratuit on chaufferait les chaudières avec, parce qu c’est un hydrocarbure donc représente de l’énergie.

Nous apprenions naguère que si on jette du pain on demande la guerre !!

La publicité:
Formidable il est même pas nécessaire de payer les autres canaux de télévision radios et journaux.

Néanmoins par cette gratuité pernicieux ces médias sont à la merci des annonceurs et les informations sont d’une liberté douteuse pour utiliser un doux euphémisme.

Conclusion payez pour votre information dont seul radio courtoisie ou le Canard enchaîné et divers autres journaux marginaux peuvent dire avec une autre liberté des choses occultées par les médias politiquement correct et corrigé à chaque instant.

Pour quoi les cuisinières en ex URSS brûlaient jour et nuit ?
Pas
parce que le gaz fut gratuit par contre pour l’allumer il fallait des allumettes et non seulement ils ne furent pas gratuits mais en système planifié ça manquait chroniquement.

La moralité de ces constatations est que rien est gratuit la subtilité de notre malin c’est de faire croire qu’on peut lui rivaliser et même gagner.

Vous auriez toujours le dessous autrement dit des que vous voyez «  Vous avez gagnez sans que vous avez fait qu ce que soit » ou regardez moi se pub amusant, vous êtes en train de mordre l’hameçon.

Le bénévolat autre forme de gratuité .Là aussi le malin mène la danse .Les quelques cas d’un désintéressement totale (et encore) masquent au combien d’intérêt purement matériel ou subsistance de vie ou vente d’un idéologie pernicieux bien que dans certain cas salutaire entre guillemets.

C.J.Wijngaards 26 –09-03